("Uniunea" ar avea sens pozitiv doar ca Piaţă Comună şi nimic altceva. Statele asociate - nu "state-membre" - ar avea deplină libertate în toate domeniile, fără "parlament european" sau "directive UE". Dar "neo-suveraniştii" nu la aşa ceva se referă, ci vor o "uniune" care ar deţine - ca şi UE! - atribute de suveranitate statală precum apărarea, politica monetară/euro şi politica externă).
Idioţii utili ori mai bine zis cârtiţele infiltrate vin cu poveşti de adormit copiii (Polémia: L’impasse du souverainisme nostalgique? Pour un nouveau souverainisme):
Dans cette perspective un populisme conséquent ne peut pas répudier le principe d’une Union européenne. L’actuelle Union a, certes, atteint ses limites parce que, par construction pourrait-on dire, elle a répudié les attributs de la souveraineté politique, comme le souhaitait l’oligarque Jean Monnet.
Le populisme conséquent doit donc reprendre la construction européenne là où l’oligarchie l’a volontairement arrêtée : faire de l’Union un instrument de la puissance et de l’indépendance de tous les Européens, un espace économique protecteur, une défense européenne autonome, libérée de la tutelle atlantiste de l’Otan (3), des frontières sûres, une diplomatie indépendante, une Europe qui en finirait aussi avec la repentance, c’est-à-dire la haine de soi. Le souverainisme n’a de sens aujourd’hui qu’au plan européen.
A l’heure du retour sur la scène mondiale des grandes aires civilisationnelles, qui rassemblent chacune des centaines de millions, sinon des milliards, d’hommes et de femmes, l’avenir européen réside-t-il vraiment dans un retour des petites patries et des monnaies nationales ? ou dans une multiplication des sécessions sur le modèle du Brexit ou du groupe de Visegrad ?Se cam apropie scadenţele. N-are rost să ne prefacem că nu pricepem: se va ajunge pe termen mediu la confruntări dure cu oligarhia globalistă şi cu clientela acesteia. They won't let go so we must play dirty. Dacă naţionaliştii (conservatorii, "populiştii", euroscepticii) vor juca în cadrul impus de oligarhie, cam e muncă-n zadar. Precum spun unii, dacă vrem ceva concret "va trebui să facem o revoluţie" (Polémia: Réflexions après la défaite):
Comme si les maîtres du pouvoir étaient assez sots pour le lâcher sans plus ! Des transformations d’une telle envergure n’ont jamais été faites ni ne se feront jamais à travers de simples victoires électorales. Celles-ci ne peuvent, tout au plus, qu’apporter un soutien ou une concrétisation à tout un processus qui a un nom aussi clair que bien connu : révolution.
Mais la révolution que notre monde exige, s’il veut être sauvé, n’est pas l’affaire d’un jour. Ou d’un soir : elle n’est pas l’affaire du Grand Soir dont tous les révolutionnaires rêvent, que ce soit du Grand Soir d’une victoire électorale, ou du Grand Soir de la prise du palais présidentiel. Dans les deux cas, l’approche est au fond la même : plus élégante et moins sanglante dans le premier cas, c’est tout.
Sommes-nous vraiment conscients de l’enjeu, proprement extraordinaire, dans lequel notre monde se débat ? J’en doute car, si nous en étions vraiment conscients, l’impatience nous tarauderait bien moins ; la clairvoyance et la patience seraient alors nos alliées.
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